C'est aujourd'hui, 9 août (2011 et autres années),
la Saint Amour,
que Georges Guétary a chantée
grâce à la compositiopn à son intention de Robert Chabier (paroles) et Jo Moutet (musique) : écoutons-la d'abord :

Elle n'est pas considérée dans l'analyse du livre.  Elle donne l'occasion ainsi d'en régénérer l'écoute

1. à la lueur du principe thématique de l'essai, Georges Guétary, langage de l'Image, sur "FaceBook";
2. en elle-même ici :

Son sujet est celui qui caractérisa essentiellement Georges Guétary, celui qui en fit la cible de ses détracteurs, ceux-là qui ne supportaient pas le "chanteur de charme" et ses romances, non plus que ce type de voix d'exception, ceux-là peut-être qu'une certaine jalousie animait.

Or, il y a pire : cette allergie s'associait à la perception que, Les Aventures de Casanova abondant dans ce sens d'ailleurs, Georges Guétary n'était qu'un vil séducteur.  Et la voix et le physique en idéale symbiose —et les auditrices en bonheur d'écoute— corroboraient parfaitement cette identité, puisque les paroles en ce cas n'étaient pas comme il le faut écoutées (voir à ce propos le point de vue de Boris Vian : Chronique du 28 Juin 2009, Un texte pâtit-il de la qualité de la voix ?), puisque, aussi, on n'allait pas, ne le voulant pas, aller plus avant,

1. ni dans l'après des scènes de la séduction dite gratuite des films et des opérettes : on retient, par exemple, et l'épingle en page d'anthologie, la scène de La gamme et l'amour du film 30 et 40, mais on gomme de la mémoire, et qu'il y eut mariage ensuite, et que l'amoureux était plus transi que fier entre temps, deux chansons le soulignant pourtant, Banco et Comme une étoile.
2. ni dans l'inventaire objectif des chansons du thème, en tirant en nombre édifiant celles qui comme celle-ci, valorisent  l'amour : pour mieux en saisir le contenu, vous pouvez la lire par l'appel suivant : Télécharger « mod_article4824685_1.rtf »