• Envoyée avec tendresse touchante par ma fille née en 1959, 

    la carte ci-après exprime sans doute l'Image imprimée dans sa mémoire cordiale, 

    si proche de la perception commune, et bien qu'elle ait lu très attentivement l'étude 

     

    Georges Guétary, langage de l'Image* qui retouche cette empreinte :

    8 février 2015, L'IMAGE QUI DEMEURE…

    Triomphe ainsi de la perception sensorielle sur le décryptage et l'exégèse ?

    Image seule et vraie donc que celle ci-dessus ?

     

    Et reconnaissance dès lors infinie de Georges Guétary en Olympe ?

     

    *Quelques exemplaires restent disponibles chez l'auteur.  

    Leur prix ne peut être inférieur à celui du commerce, mais il s'atténue par l'accès gratuit aux quelque cinq cents chansons qui illustrent le propos. 


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  • Boris Vian,
    dont on commémorait, le 23 juin de 2009, le décès voilà cinquante ans,
    n'a rien écrit pour Georges Guétary,
    et Georges Guétary n'a rien interprété de Boris Vian.
    Mais Boris Vian a écrit :
    «Si le texte [d'une chanson] était bon, ce serait le desservir
    que d'en distraire l'attention sur la voix».

    Excessif ?

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  • La section parisienne de la Fête de la Musique de cette année proposait de citer les cinq chansons qu'on retiendrait sur les cinquante dernières années
    —on pouvait ou non justifier ses choix—.
    Et si nous prolongions cette enquête en nous demandant quelles seraient, sur cette même période les cinq de Georges Guétary que chacun de nous retiendrait ?

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